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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 14:32

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La lutte contre le VIH/SIDA est une affaire de chacun. Cet appel à plus de responsabilité citoyenne est le principal message qui se dégage de la Journée Mondiale de lutte contre le Sida célébrée ce 1er décembre 2013.

 Au Gabon cette célébration a été placée sous le thème « l’engagement du secteur privé dans l’atteinte de l’objectif zéro» c’est-à-dire zéro nouvelle infection, zéro discrimination, zéro décès lié au sida. Le temps n’est plus où la bataille contre ce mal mortel était l’apanage des autorités politiques et des organisations non gouvernementales, elle devient au contraire une lutte des populations. La Direction Générale de la Prévention du Sida (DGPS) du Gabon et ses partenaires l’ONUSIDA, l’UNICEF et l’UNFPA en ciblant l’objectif de l’atteinte des ’’Trois zéros ’’ a lancé un appel à plus de prévention de soi et de la santé de l’autre, à la non stigmatisation des Personnes Vivants avec le VIH et surtout amenuiser le plus possible les décès en lien avec le sida.

Cette journée mondiale de lutte contre le Sida  a été couplée d’un méga marathon  première édition drainant de la tribune officielle du bord de mer jusqu’aux artères de la capitale, personnes âgées, femmes, jeunes, voire des stars du football gabonais notamment Daniel COUSIN ; une manifestation sportive pour marquer  symboliquement l’effort de cette lutte. Une fois la course achevée, certains participants n’ont pas hésité à faire gratuitement sur place leur dépistage volontaire et anonyme.

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Les jeunes demeurent la couche la plus vulnérable, de ce fait ils ont une incidence plus élevée  de nouvelles infections par le VIH et de grossesses non désirées. Selon l’Enquête Démographique et de Santé (EDS) II du Gabon ,10% des femmes et 29%des hommes de 15-49 ans ont eu deux partenaires sexuels ou plus. Parmi eux, seulement 44% des femmes et 51% des hommes ont déclaré avoir utilisé un condom au cours des derniers rapports sexuels.

 

Benito MIDODJI

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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 08:07

 

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Les 20 et 21 novembre 2013 s’est tenue à Libreville la Revue 2013 du  Plan Cadre des Nations Unies pour l’Aide au Développement (UNDAF) au Gabon. Cet atelier a passé en revue six effets du cycle de coopération entre le système des Nations Unies et le Gabon de 2012 à 2016.

L’évaluation de  l’UNDAF a permis de revisiter le cadre de coopération afin  d’en apprécier les progrès, d’en tirer les grands enseignements tant en termes de contraintes que d’opportunités exploitées. Les réflexions sur six effets ont été axées notamment sur l’appareil statistique national, l’administration nationale, l’appropriation par les communautés sur les mesures liées à l’amélioration de leur bien-naître, l’entrepreneuriat local, les populations les plus vulnérables bénéficiant des politiques sectorielles et les populations les plus démunies en lien avec l’accès aux services de qualité en matière d’éducation, de santé y compris le VIH/Sida.


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Ces deux jours de travaux ont permis de mieux aligner l’UNDAF sur le Plan Stratégique Gabon Emergent, lequel plan, a indiqué Madame  Marie-Evelyne PETRUS-BARRY, Coordinatrice Résidente du Système des Nations Unies au Gabon « va nous permettre de cibler notre appuis aux efforts de développement du Gabon avec plus d’efficacité et de rigueur ».

Les représentants des agences des Nations Unies, les autorités gouvernementales ainsi que les représentants de la Société Civiles ont de concert formulé des recommandations pertinentes en vue d’améliorer leur  cadre de coopération. Parmi les recommandations émises, on soulignera, entre autres, la nécessité d’appuyer l’évaluation à mi-parcours du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE) en 2014, la mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Développement de la statistique (SNDS), la revue à mi-parcours de l’UNDAF, une meilleure synergie des actions des différentes agences des Nations Unies pour plus d’impact.

Il faut noter que ces recommandations ont également accordé une place de choix à la promotion de l’entrepreneuriat et à une plus grande prise en compte de l’aspect genre dans l’UNDAF. Pour Monsieur Moulomba Nziengui Secrétaire Général Adjoint du ministère de l’Economie, de l’emploi et du Développement Durable, il est important « d’instituer des rencontres périodiques, trimestrielles afin de maintenir une veille sur nos activités pour mieux capter les évolutions aussi bien dans la dynamique des politiques sectorielles que celle des résultats globaux. ».

 

Benito MIDODJI

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 13:09

Ambulance don de l'UNFPA Gabon       

UNFPA, Libreville, le 03 octobre 2013 : Le Fonds des Nations Unies pour la population a offert au ministère de la santé des équipements et produits de santé de la reproduction. La  cérémonie de remise des équipements  s’est déroulée en présence du ministre de la santé le Pr Léon N’zouba et du chargé de bureau de l’UNFPA-Gabon Monsieur Mahmoudou Kaba.

Ce matériel qui vient en soutien aux  efforts du gouvernement et de la société civile pour réduire la mortalité maternelle et néonatale  comprend: une ambulance, 50 téléviseurs écran plats, 50lecteurs DVD, 27 mégaphones, 12 chaises roulantes, 16 projecteurs, 10 bassins de lit, 12 tables d’examen, 5berceaux, 15 lampes d’examen ainsi que des médicaments. La valeur de ce don est estimée à 150.000 USD.

Pour Monsieur Kaba, chargé de bureau UNFPA-Gabon  ce don est essentiel car il vient renforcer le matériel des structures de santé existant.  « Cela signifie que la majorité des décès maternels au Gabon pourrait être évité moyennant des actions de prévention, un meilleur suivi de la grossesse et une meilleure qualité des soins, ainsi qu’une formation appropriée du personnel en charge de la santé maternelle ». Il a par ailleurs exprimé au nom du Directeur exécutif du Fonds des Nations Unies pour la population, Monsieur Babatunde Osotimehin, la reconnaissance de l’agence au chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba, pour la contribution  effective annoncée en faveur de la santé maternelle lors de la session spéciale des chefs d’Etats et de Gouvernements sur la Réduction de la Mortalité Maternelle en Afrique en janvier 2013 à Addis Abeba.

Le ministre de la Santé a quant à lui apprécié le don d’équipements et produits de la santé de la reproduction. Il a également présenté ses remerciements à l’UNFPA et  a promis que le don arrivera à ces destinataires et sera utilisé à bon escient.

C’est le Centre Médical d’Ovan (région de l’Ogooué-Ivindo) qui en est le  bénéficiaire d’une grande partie de ces équipements. En effet, la province de l’Ogooué Ivindo fait partie des zones prioritaires d’intervention de l’UNFPA dans le cadre du 6e programme de coopération. « Cette ambulance va beaucoup nous soulager dans la prise en charge de la santé de la mère et de l’enfant. Elle donne aussi l’avantage de transférer  les malades vers d’autres structures sanitaires bien équipées» a indiqué Madame Mbeng Mba Félicité Directrice régionale de la santé Est Ogooué-Ivindo.

Au Gabon 306 sur femmes pour 100.000 naissances meurent en donnant la vie. Paradoxalement, la majorité de ces femmes accouchent dans les structures sanitaires.

 

 Benito MIDODJI

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8 octobre 2013 2 08 /10 /octobre /2013 08:00

C’est dans un véritable paradoxe qu’évolue la création culturelle et artistique en Afrique. Même si ce secteur économique connait une vitalité appréciée au-delà du continent, la piraterie des œuvres musicales, cinématographique, numériques et la contrefaçon des marques ou des modèles industriels ne cessent de gangrener l’avenir de ceux qui inventent  la culture et s’investissent dans l’innovation.

 

                                                                                                                           cc.jpgEn réalité aucune portion du continent n’échappe au phénomène de la piraterie. En Algérie « l’ampleur du piratage a atteint des records : 83% en 2010. Il représente un manque à gagner avoisinant les  69 millions de dollars pour les éditeurs », explique Hakima Kernane (in RESEAU TELECOM NETWORK n˚ 55)

On assiste chaque jour au spectacle de la contrefaction. Mieux disons que l’on consomme naturellement la contrefaction aussi bien dans les capitales que dans les  périphéries. A chaque coin de rue poussent comme des champignons des boutiques de vente de DVD, CD de  musiques, film, documentaire etc. Il s’agit d’une ’’nouvelle industrie’’ pour sortir de la pauvreté, étant donné que les véritables industries culturelles peinent à naître en Afrique.

 Les nouvelles technologies aidant, il est aisé de télécharger sur internet, de graver à la centaine de ressources originales. D’après les données de gestion culturelle de l’UNESCO, « un facteur majeur est la diffusion rapide des graveurs de CD-R, associée à l'augmentation constante de la vitesse de copie des graveurs. Il est aujourd'hui possible, par exemple, de fabriquer une nouvelle copie d'un disque standard de 74 minutes en un peu plus de trois minutes. Un autre facteur est la surcapacité croissante de production de disques légaux à l'échelle mondiale. »

 

Pendant que les créateur-concepteurs d’œuvres vivent difficilement de leur art, cette fameuse initiative privé devenue effet de mode rapporte des profits et enrichie même ceux qui en maitrisent les  secrets.

B.M

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 15:16

C’est au cours d’un atelier qui se tient   du  13 au 16  août 2011 à Lomé que les experts économiques et les acteurs de la société civile se sont réunis  pour vulgariser les acquis de la reformes des marchés publics et pour lutter contre la corruption.

 

Ce cadre réflexion compte promouvoir les instruments régionaux d’accompagnement de la transposition des directives communautaires sur les marchés publics. Deux resultats sont également attendus à l’issu de cet atelier : la mise en œuvre du processus de transposition  desdits instruments dans la législation nationale des Etats membres et surtout l’application effectives de ces instruments dans le processus de passation des marchés publics pour l’harmonisation des procédures et le renforcement de la transparence et de l’intégrité.

 

« Une lutte sans merci contre la corruption au niveau de l’UEMOA est une partie intégrante de la lutte contre la pauvreté car comme le rappelle Domenico Lombardi de l’Oxford Institut for Economic Policy. Le plus lourd tribut levé sur les populations des pays pauvres est la mal gouvernance, il est régressif, perçu  rigoureusement sans exception ni rappel »  a souligné M. Abdou Tahirou directeur des finances publics et de la fiscalité intérieure.

 

Cet atelier  qui  a rassemblé cent personnes ciblait essentiellement les acteurs de l’administration publique, du secteur privé, la presse nationale, les ONG et les parlementaires.

 

MIDODJI Benito

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 18:58

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Si le choix de l'étranger est pour certains sources de bonheur, nombreux sont ceux qui estiment que l'immigration est loin d'être un gentil divertissement.  Dans les sociétés africaines, l'intelligentsia est plus ou moins marginalisée et n'est pas toujours mise à contribution pour le développement. Cette réalité entraîne inévitablement la fuite des cerveaux, qui au demeurant ne trouvent pas adéquates les conditions locales pour exercer leur métier. Du coup, l'intellectuel est attiré par l'Europe et les Etats-Unis, qui valorisent les compétences.

 

La pauvreté est le facteur premier qui alimente la course vers l'immigration, qu'elle soit clandestine ou légale. Plus de la moitié de la population africaine vit sous le seuil de pauvreté.


Par ailleurs, le simple goût de l'aventure, le regroupement familial (un immigré peut faire venir auprès de lui conjoint, enfants, etc.) constituent d'autres facteurs qui expliquent ce mouvement vers l'étranger où la situation n'est pas toujours rose comme on en rêve. En effet ceux qui arrivent à atteindre le " paradis " sont pour beaucoup désillusionnés face aux nombreux problèmes tels que les incarcérations, les difficultés d'intégration liées à la xénophobie, les expulsions pures et simples vers le pays d'origine. Bref l'immigration n'est pas toujours semblable au heureux et beau voyage d'ULYSSE de la mythologie grecque.


Cependant, il serait malhonnête de trancher le débat en concluant que l'immigration est un phénomène totalement négatif. Car, il existe à des degrés divers un caractère constructif et avantageux de l'exode transatlantique. M. Eboussi Boulaga, un philosophe camerounais, déclarait : " L'exode des cerveaux est un mécanisme naturel d'évacuation du superflu qui excède les capacités locales de garage et de destruction. Ce qui semble un paradoxe ici, c'est qu'il ne faut pas déplorer la fuite des cerveaux en Afrique, il ne faut pas culpabiliser ceux qui vont au lointain chercher à survivre".

 

Cela va sans dire que la terre d'accueil peut se révéler parfois un cadre d'épanouissement comme c'est le cas pour un Cheik Modibo à la Nasa ou pour plusieurs artistes notamment : Alain Mabanckou, Sami Tchak, Corneil Nyungura etc. On note donc une double satisfaction, d'abord chez l'immigré et bien sûr au niveau de sa famille restée au pays. Puisque les travailleurs immigrés envoient de temps en temps dans leurs pays d'origine des fonds via Western Union, Money Gram ou d'autres systèmes de transfert d'argent. 

 Et si  ces immigrés, de par l'expérience et la qualification acquises à l'étranger, pourraient également contribuer du transfert de technologie et de compétences de leur pays d'origine. On pourrait ici tirer exemple sur la Chine en faisant la promotion d'une diaspora utile.


Benito MIDODJI

 

 

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 18:34

 

Il y a de cela un an l'ONG " Environnement Plus " innovait dans le combat contre la pollution.

Les sachets en plastics usagés sont un casse-tête pour les populations et constituent une véritable menace pour l'équilibre de l'environnement et la santé de l'homme. C'est fort de ce constat que l'ONG " Environnement Plus " a initié en juin 2010 la collecte des sachets plastiques à travers la ville de Lomé en les rachetant à la population.


Il s'agissait  d'un projet original et séduisant parce qu'il pousse le consommateur à collectionner ses sachets usagés aussi bien dans son espace immédiat que lointain et à les revendre à l'ONG à raison de 75F le kilogramme, à partir des points d'achat installés à travers la ville. Lomé a été choisie comme zone pilote pour l'expérimentation du projet. Ainsi 7 points d'achat sont pour l'instant installés dans certains quartiers de la capitale et ses environs, notamment à Gbossimé, zone Cinéma Le Togo, Togblé, Adétikopé, Hédzranawoé, Bè lagune et shell Togbato.
" Environnement Plus " espère non seulement assainir la ville de Lomé, mais souhaite aussi redorer le charme de la capitale et par là faire resurgir la légende “Lomé la belle”.On estime à près de 400 ans le temps mis par les matières plastiques pour se décomposer.

Cependant on  constate encore le recule de cet acte positif. Un an après les comportements sont demeurés intacts. Dans la conscience collective, les sachets platistiques ne sont pas une préoccupation, ni un danger pour l'environnement.Dès lors que la protection de  l'environnement  est avant tout un problème de citoyenneté, l'éducation civique dans les établissements scolaires ne devrait-elle pas accompagner les sensibilisations des ONG ?

MIDODJI Benito

 

 

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 18:09

 

Si le bon sens est la chose la mieux partagé au monde, ce n'est pas le cas pour la beauté que certaines africains assimilent à la couleur blanche. C'est ainsi qu'en dépit du dicton qui affirme que la beauté est relative, nombreuses sont les femmes africaines qui courent après les produits cosmétiques, notamment les lotions, laits, crèmes… pour entretenir leur peau, la rendre plus lisse et agréable. Mais dans cette quête permanente de la beauté, la plupart de ces femmes procèdent purement et simplement à la dépigmentation de leur peau, au prix de tous les sacrifices.


D'où proviennent ces produits éclaircissants ?

Il y a de faibles chances de trouver des produits éclaircissants made in Togo. Ils sont de manière générale le fruit du commerce importé. Dans la sous région ouest africaine, le Sénégal, le Nigeria, la Cote d'Ivoire et le Ghana sont les principaux pôles de production. Ces produits dont la qualité est douteuse sont en majorité des contre-façons des produits originaux. Aussi leur composition chimique ne respecte pas toujours les normes (les taux de corticoïde et d'hydroquinone, deux substances qui colorient la peau, sont supérieurs au seuil tolérable de 2 ?) De plus, le faible pouvoir d'achat des populations principalement, des jeunes, oblige ceux-ci à recourir à des produits fabriqués de façon artisanale (eau de javel, lait peak, défrisant de cheveux…). Ces produits utilisés pour l'éclaircissement de la peau sont à des degrés divers dangereux pour la santé : ils affaiblissent le système immunitaire, détruisent la mélanine, engendrent le cancer de peau et des complications de cicatrisation des blessures etc.

Un engouement sans précédent

 

 Le phénomène de dépigmentation apparu à la fin des années 60, connaît aujourd'hui une montée exponentielle. A Lomé on pourrait les appeler les " yovo forcées ", ces femmes qui se blanchissent la peau. Au Mali elle sont communément appeler les " tchatcho ", au Bénin les " bojou " et au Sénégal les " seesal". Une revendeuse de ces produits atteste qu'il s'agit d' " un commerce très florissant, car plus 70 ? des femmes togolaises veulent se faire yovo". La compagnie des amies dépigmentées, l'influences des conjoints et surtout le pouvoir de la publicité expliquent entre autres l'intérêt de nos sœurs pour les produits cosmétiques. Mise à part la gent féminine africaine, nombreux sont les hommes qui pratiquent l'éclaircissement de leur teint.

Teint naturel, synonyme de pauvreté ?

Les discours des pères de la négritude, célébrant la beauté de la femme noire semblent être tombés en désuétude vis-à-vis de la publicité et du phénomène de mondialisation mal assimilé. Il apparaît même qu'avoir un teint clair serait synonyme d'une stabilité financière. Par ailleurs, nombreuses sont les jeunes filles qui veulent être à la mode, et qui préfèrent jeûner ou soutirer des sous à leurs hommes en vue de se " taper " un teint d'or. Jusqu'où nous conduira cette recherche effrénée d'une peau claire ? Personne ne saurait répondre à cette interrogation jusqu'au jour où nous prendrons conscience de notre propre folie qui nous tue.

 

Benito MIDODJI

 

 

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Présentation

  • : Le blog de Benito MIDODJI
  • : AFRICA-REPORTING est une plateforme d'information et d'éducation. Axée sur le passage en revue des faits et phénomènes sociaux du continent Africain, elle représente aussi un coup de projecteur sur les actions d'une afrique qui bouge. Ce à travers la politique, la culture, la science,le sport, etc.
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